Alors que la N4 réussit son entrée en infligeant un 6/0 à La Membrolle 4, La N2 subit une débâcle à l’image des embruns quimperois : Salée.
Le samedi, nous jouons Quimper, que nous avions battu la saison dernière. Le score est sans appel :4/1 Nos positions, souvent prometteuses, voire écrasantes se retournent…comme des crêpes . Le lendemain, férus du comique de répétition, nous remettons ça avec Brest, et faisons preuve de « faiblesse psychologique » (Cf l’artice sur l’indécision aux échecs), malgré une belle victoire de Christian, Flavia et Matthieu.
L’équipe s’est fourvoyée, s’est égarée, était-elle trop confiante ou trop fébrile, s’est-elle laissée endormir dans la salle feutrée aux fauteuils confortables ?? Peut-être tout simplement n’y était-elle pas…
Ce constat peu glorieux ne saurait toutefois occulter les 2 victoires convaincantes de notre jeune recrue, Matthieu Burille, ni l’enthousiasme contagieux de Damir, et plus généralement la bonne ambiance qui règna ces deux jours.
On ne saurait non plus passer sous silence l’excellente prestation de notre nouveau capitaine, peut-être davantage (tu ne m’en voudras pas Manu) sur un plan logistique que sportif, même si le coup Fb3! (voir diagramme), en plus d’anéantir l’ego de l’adversaire pour plagier Fischer a cette vertu magique de verdir son visage et d’ôter tout éclat de sérénité à son regard perplexe…
Bref, cette double défaite aura eu au moins le mérite de nous unir dans la douleur: GENS UNA SUMUS, ou comme on dit en breton KOUIGN AMANN !